Maison Mönik chez The Clothette
Nous sommes heureux et fiers d’accueillir la marque de bijoux Maison Mönik au sein du showroom The Clothette.
Depuis 2015, dans son atelier de Biarritz, Aurélia Maës, créatrice de Maison Mönik, taille les coquillages, travaille les terres, crée des pièces en bronze, et assemble ses matières qui, pour elle n’ont pas de hiérarchie de noblesse.
Sa marque de fabrique … Les coquillages. Particulièrement le Cauri, découvert sur l’Ile de Gorée il y a des années, où traditionnellement on lit l’avenir dans ces ravissants coquillages blancs.
Marquée par l’Afrique, son exotisme et ses rituels vont devenir l’ADN de la créatrice.
Des bijoux éthiques qui parlent à la mémoire
En poursuivant ses voyages autour du monde et ses rencontres, Aurélia crée une ligne de bijoux dans laquelle s’entremêlent ses tendres années 80 et ses aspirations ethniques, brutes un brin primitives. Comme les perles d’Afrique en vinyle recyclé qu’elle travaille depuis ses débuts, avec la subtile féminité non ostentatoire d’une femme libre et intemporelle.
Depuis Mai 2021, Maison Mönik a aussi une collection dédiée aux hommes, une suite logique pour la créatrice. Un cocktail d’exotisme, de beauté et de force qu’on retrouve à travers les différentes pièces, bracelets, bagues, colliers ou encore boucle d’oreilles.
Une collection pour les hommes qui roulent des mécaniques le jour et roucoulent la nuit !
Une maison responsable à partir de matériaux recyclés
Les valeurs de Maison Mönik
Aurélia désire transmettre sa passion de l’artisanat à travers ses collections. Autodidacte sans cesse en recherche, elle évolue à travers différentes résidences et apprentissages qu’elle pratique régulièrement afin d’enrichir son savoir-faire.
Une fabrication territoriale, qui emploie localement
La créatrice est attachée à une fabrication territoriale et toutes les pièces en Laiton ou en plaqué or issues de la cire perdue sont fondues chez un artisan fondeur local.
Les petites mains et enfileuses de perles sont de la région du Pays Basque.
Les matières premières sont, elles, sourcées dans leur pays de fabrication et création d’origine.
Les perles de cultures d’eau douce
La chine produit des perles d’eau douce depuis le 13e siècle. Aurélia a eu l’honneur de découvrir ce savoir-faire au large de Hong Kong. C'est un savoir-faire local ancestral qui doit sa découverte au Japon et ses méthodes de culture dans les lacs.
Les perles en vinyle et verre recyclé du Ghana
Ces perles chères au cœur de la créatrice sont leur ADN en l'Afrique et ont fini par devenir le sien. Elle a rencontré sa fournisseuse à Accra au Ghana où sont sourcées les perles en vinyle recyclé qui sont, là aussi, un savoir-faire artisanal authentique.